La vie sauvage aux portes de l’Amazonie

Après quelques nuits bien fraîches dans les hauteurs de La Paz, nous nous envolons pour quelques jours au chaud dans l’Amazonie bolivienne !

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Et comme cette destination n’est pas très fréquentée, il n’y a qu’une compagnie aérienne qui propose un vol jusqu’à Rurrenabaque dans un petit coucou de vingt et une places (pilote et co-pilote compris bien sûr !)…

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Un vol de moins d’une heure sans chichi ni hôtesse de l’air pour survoler les sommets des Andes et atterrir dans la pampa : le début de la forêt Amazonienne côté Bolivie !

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Et dés notre atterrissage, on prend conscience de l’endroit perdu dans lequel on vient d’arriver : c’est le plus petit aéroport que l’on n’ait jamais vu ! Aussitôt on troque nos bonnets et gros pulls pour des shorts et tee-shirts, il fait très chaud !

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Après trois heures de secousse à l’arrière d’une vieille Jeep sur une route poussiéreuse, il nous reste encore quelques heures de pirogue pour arriver jusqu’à notre camp. Evidemment nous ne sommes pas seuls à parcourir ces eaux troubles…

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Dés le début de trajet, nous croisons de nombreux animaux, comme des tortues…

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des alligators…aligator-pampa2aligator-pampa1

ou des oiseaux en tous genres…

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Après un trajet bien animé, nous découvrons le camp (sans chichi là aussi), en plein milieu de la pampa,où nous dormirons deux nuits ! Fatigués de cette journée mouvementée, nous nous endormons à l’abri dans notre moustiquaire : une longue journée nous attend !

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Pour notre deuxième jour dans la pampa, le programme est alléchant : le guide nous a organisé une petite « chasse » à l’anaconda…

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C’est d’un pas déterminé que notre groupe est parti pour cette aventure excitante !  En réalité, elle était vouée à l’échec dés le départ car personne n’a pas vu d’anaconda dans le coin depuis quelques mois (mais ça on l’a su après !)…

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Malgré les longues heures sous une chaleur étouffante avec peu d’eau, on a su garder le sens de l’auto-dérision lors d’une petite séance photo…

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Et oui, on garde le sourire en toutes circonstances ! Et même si l’on a pas vu d’anaconda, on a quand même vu un de nos compagnons d’infortune se faire attaquer par une horde de guêpes de la pampa ! Et ça, on ne s’y attendait pas du tout !

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Une randonnée matinale de plus de quatre heures de marche dans des marécages, avec des bottes en caoutchouc trouées, heureusement le programme de l’après-midi était plus relax…

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Pêche au piranha !

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Et il faut avouer qu’elles sont voraces ces petites bêtes !! Finalement, c’est nous qui les avons mangées pour le repas du soir…

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Pour notre troisième et dernier jour dans la pampa, l’objectif était de partir à la recherche du célèbre dauphin rose d’Amazonie… Il n’a pas fallu attendre longtemps avant d’en croiser quelques-uns, nous nous sommes jetés à l’eau pour tenter de les approcher au plus près. Mais il faut avouer qu’avec les alligators qui rodaient dans les mêmes eaux, on n’est pas restés longtemps !

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Cette balade en pirogue a été l’occasion de découvrir d’autres animaux étonnants qui vivent aux abords de la rivière…  comme ce petit singe tout mignon qui est un singe-écureuil  !

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ou ce singe-hurleur…

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mais aussi des énormes rongeurs que l’on ne peut observer qu’en Amérique du Sud : les capybaras…

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Thibaut aura même tenté d’apprivoiser un alligator !

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Après trois jours au plus près de la nature, on retourne à la civilisation dans la petite ville de Rurrenabaque avec nos nouveaux amis des quatre coins d’Europe !

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Et avant de retourner dans le froid des Andes boliviennes, on profite du soleil pour se détendre autour de la piscine de notre auberge de jeunesse !

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Retour à La Paz en avion puisque les indigènes bloquent depuis quelques jours la seule route accessible par les bus…

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2 Responses to “La vie sauvage aux portes de l’Amazonie

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